Le Pape Benoît déclenche un déluge de critiques à l’encontre de l’Église catholique.

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PAR ROBERT SPENCER


Lorsque le pape Benoît XVI est décédé le 31 décembre à l’âge de 95 ans, il s’avère qu’il avait un livre achevé prêt à être publié à sa mort. Écrit en italien, ce livre, Che cos’è il Cristianesimo: Quasi un testamento spirituale, est plein de révélations explosives et de critiques acerbes de son successeur réveillé, le pape François. Le pape Benoît XVI pourrait-il commencer une contre-révolution au sein de l’Église catholique romaine depuis la tombe ? Des choses plus étranges se sont produites, bien qu’il faille un bon moment à chacun d’entre nous pour y penser.

Le pape Benoît explique qu’il ne voulait pas que le livre soit publié de son vivant à cause de la réaction furieuse que ses écrits ont suscitée : « Pour ma part, dans la vie, je ne veux plus rien publier. La fureur des cercles contre moi en Allemagne est si forte que l’apparition de chacun de mes mots provoque immédiatement un cri meurtrier de leur part. Je veux m’épargner et épargner cela à la chrétienté. »

Il est facile de voir pourquoi ce livre inspirerait des « cris meurtriers » de certains coins de l’Église catholique romaine. Benoît XVI écrit que l’Église est proche de « l’effondrement » et dépeint les séminaires aux États-Unis comme des centres de promiscuité homosexuelle et de perversion. « Dans divers séminaires -a expliqué le pape, des ‘clubs’ homosexuels se sont formés qui ont agi plus ou moins ouvertement et qui ont clairement transformé l’atmosphère dans les séminaires. Dans un séminaire du sud de l’Allemagne, des candidats au sacerdoce et des candidats à la fonction laïque de référent pastoral vivaient ensemble.

La corruption était plus ou moins au grand jour. « Au cours des repas communs -a noté Benoît XVI- les séminaristes étaient accompagnés de représentants pastoraux mariés, en partie accompagnés de leurs femmes et de leurs enfants et, dans certains cas, de leurs petites amies. Le climat au séminaire ne pouvait pas aider à la formation sacerdotale. » Il a dit qu’un « évêque qui avait été auparavant recteur avait permis aux séminaristes de voir des films pornographiques, probablement dans l’intention de leur permettre ainsi de résister contre un comportement contraire à la foi ».

Ces allégations ne sont que trop plausibles. Dimanche, le Times de Londres a rapporté que « l’église catholique romaine enquête sur des allégations d’une « fête sexuelle » dans une cathédrale dans le cadre d’une enquête sur le mandat d’un ancien évêque. Dans un geste très inhabituel, le Vatican a ordonné une enquête sur les circonstances entourant la démission de Robert Byrne en tant qu’évêque de Hexham et Newcastle en décembre. Il semble qu’« un certain nombre de plaintes ont été déposées par des individus au sein du diocèse après que des informations ont été révélées au sujet d’une fête sexuelle qui aurait eu lieu dans les quartiers d’habitation des prêtres attachés à la cathédrale de Newcastle ». À la suite de tout cela, « la cathédrale était devenue la risée ».

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